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En route vers un nouveau partenariat!

En route vers un nouveau partenariat!

Engagement pour l’insertion professionnelle des jeunes.
MEGA Social Foundation est heureuse de vous annoncer sa nouvelle collaboration avec la société coopérative à but non lucratif, Démarche, basée à Lausanne (VD, Suisse) !

Devanture magasin Ateapic

Pour fêter cette fin d’année 2020 pour le moins stupéfiante, nous avons une grande nouvelle à vous annoncer.

Le coronavirus n’a pas eu raison de MEGA Social Foundation qui continue de se développer! Nous sommes aujourd’hui fiers et heureux de vous annoncer que nous avons noué un partenariat stratégique avec Démarche, société coopérative, basée à Lausanne (VD, Suisse).

Qui est Démarche? C’est une société coopérative à but non lucratif, une entreprise apprenante et citoyenne, qui affiche clairement ses convictions sociales et solidaires. Démarche a pour mission de faire de l’insertion socio-professionnelle pour des personnes éloignées de l’emploi ou en situation de handicap. Pour atteindre ce but, sous l’impulsion de son charismatique dirigeant et fondateur, Stéphane Manco, elle a développé des activités économiques variées telles que la collecte et le tri de textiles, la location d’œuvres d’art d’artistes suisses, la création de magasins (physiques et en ligne) solidaires et éthiques, une buanderie professionnelle, un atelier de réparation de vélos, un service de location de costumes et déguisements, etc. Génial, non?

Aujourd’hui, 150 collaborateurs coachent, encadrent et forment plus de 650 participants chaque semaine à plus de 45 métiers. Pour continuer sa route, Démarche augmente le nombre de participant.e.s et d’apprenti.e.s formé.e.s et propose davantage de missions d’insertion. Celles-ci doivent toujours rester au plus proche du premier marché de l’emploi et répondre aux besoins des futurs employeurs. Dans cette optique, un chantier innovant a été lancé : créer une grande halle textile.

L’objectif : automatiser le tri du textile, trier un volume plus important et de manière plus fine, multiplier les partenariats, améliorer la logistique, réduire les déchets et les émissions polluantes. En résumé, un programme ambitieux, aux impacts sociaux et environnementaux multiples, qui nécessite un MEGA partenaire pour prendre en charge la gestion du projet en interne ainsi que la recherche de partenaires industriels !

Demarche tri
Interieur de magasin Ateapic

Nous sommes très heureux de contribuer au développement de cette future grande halle, qui permettra à de nombreux jeunes éloignés du marché de l’emploi de se former, de s’insérer dans le monde professionnel et de (re)prendre confiance en eux. Ce projet répond également aux enjeux écologiques, économiques et sociaux actuels : création de circuits courts, réemploi, réutilisation, recyclage, réparation, collaboration entre structures locales, promotion de la mobilité douce, mixité sociale.

Bravo aux équipes de Démarche, toujours compétentes, professionnelles et humbles, pour tout ce que vous accomplissez, et merci de nous avoir fait confiance, merci de nous accueillir à vos côtés, nous sommes fiers et heureux d’entamer cette démarche avec vous!

N’hésitez pas à vous joindre à nous, à partager nos nouvelles, newsletters, posts sur les réseaux sociaux. Nous avons également besoin de fonds pour que MEGA Social Foundation puisse mener à bien ses missions d’accompagnement : tout don est bienvenu, tout comme vos initiatives de levées de fonds ou de communication.

Partagez votre ressenti, inspirez-nous, laissez-nous un commentaire !

Illectronisme – la face cachée d’internet

Illectronisme – la face cachée d’internet

Derrière une apparente démocratisation d’internet, il existe une toute autre réalité : celle d’une société numérique fracturée qui laisse de côté des millions de personnes qui souffrent d’illectronisme et qui se retrouvent incapables de bénéficier des nouveaux usages de la vie digitale.

Le trafic internet n’a jamais été aussi dense, les valorisations des sociétés internet sont au zénith et le métier de statisticien (« data scientist ») est l’un des plus recherchés. Nous assistons au triomphe de l’industrie numérique alors que le monde est en plein marasme économique et social. Le succès planétaire d’internet est effectivement une vague irréversible qui emporte tous les vieux usages dit « matériels » et qui entraîne les acteurs de la vie économique et sociale à migrer l’ensemble de leurs services en ligne. Grâce aux smartphones, internet est aujourd’hui accessible à tout le monde, partout et tout le temps. Cet écran de poche est devenu le couteau suisse de nos usages quotidiens : regarder des vidéos, faire des jeux, faire ses courses, communiquer, s’informer, payer, se déplacer, voyager… Nous ne pouvons plus nous en passer !

Envoyer un message Whatsapp, poster une image sur Instagram ou une vidéo sur TikTok : c’est simple comme un clic ! Mais d’autres usages numériques sont plus compliqués : remplir un formulaire administratif en ligne, rédiger une lettre de motivation, utiliser des logiciels de bureautique (traitement de texte, tableur, présentation), utiliser une messagerie email, ou encore télécharger, modifier, envoyer et archiver des fichiers électroniques. Ces fonctions constituent pourtant les compétences numériques de base, celles qui sont indispensables pour qu’une personne puisse développer pleinement et de manière autonome sa vie professionnelle et personnelle, qui passe de plus en plus par le numérique. Ne pas les maîtriser porte désormais un nom : l’illectronisme.

Derrière une apparente démocratisation d’internet, il existe une toute autre réalité : celle d’une société numérique fracturée qui laisse de côté des millions de personnes qui souffrent d’illectronisme et qui se retrouvent incapables de bénéficier des nouveaux usages de la vie digitale.

Cette nouvelle forme d’exclusion sociale n’a rien d’un phénomène marginal. En France, selon un rapport du Sénat publié en septembre 2020, « la dématérialisation généralisée des services publics, à marche forcée, pour 2022 laisse sur le bord de la route 3 Français sur 5, incapables de réaliser des démarches administratives en ligne ». En Suisse, 1 adulte sur 4 ne possède pas les compétences numériques de base (source : OFS 2018).

L’heure est grave et l’exclusion numérique s’accroît avec les mesures sanitaires actuelles ! Avec la fermeture brutale des guichets et autres points de rencontre pendant le confinement, les personnes souffrant d’illectronisme ont été subitement privées d’une assistance humaine précieuse qui leur permettait de naviguer malgré tout sur internet. Si les seniors sont très exposés, les jeunes le sont également ainsi que des millions d’autres personnes :

  • les personnes en situation d’illettrisme (800’000 personnes en Suisse et 2’500’000 en France métropolitaine) ou les allophones, qui ont les plus grandes difficultés à comprendre les consignes affichées sur les écrans et à naviguer sur internet ;
  • les personnes en recherche d’emploi qui ne maîtrisent pas les compétences de base en bureautique et ne sont donc pas en capacité de rédiger un CV ni de l’envoyer par email ;
  • tous les citoyens qui ont tant de mal à comprendre un langage administratif ou juridique élitiste, et devenu quasi-inintelligible sur internet (déclarer ses impôts, demander des papiers, se renseigner sur les aides publiques…) ;
  • les malades qui n’arrivent plus à joindre un médecin maintenant que les rendez-vous se prennent sur internet.

À ces problématiques de compétences s’ajoute un aspect financier puisque de nombreuses activités (dont le télétravail et l’école à la maison) ne peuvent être réalisées correctement que depuis un ordinateur, le smartphone ne pouvant pas répondre à tous les besoins. De trop nombreux foyers ne disposent pas d’ordinateurs pour chaque membre de la famille, ni d’une bonne connexion internet à domicile, ni d’une imprimante. Rappelons également que certains essayent d’installer internet sur Mars alors que nous avons encore tant de « zones blanches » (zone dans laquelle aucun opérateur n’a déployé de réseau internet ou mobile)…

Heureusement, des solutions existent. Elles sont imaginées et assemblées avec la contribution de nombreux partenaires : instituts de formation, fournisseurs de matériel informatique, administrations publiques, fournisseurs d’accès à internet, entreprises. Par exemple, en Suisse, réalise (pionnier de l’entrepreneuriat social) a créé un partenariat avec Simplon pour offrir une formation digitale de qualité aux demandeurs d’emploi. L’Association Lire et Écrire dispense des cours de base en compétences numériques et contribue à la promotion de l’utilisation du français FALC (Facile à Lire et à Comprendre). En France, l’initiative Connexion d’Urgence, impulsée notamment par Emmaüs Connect, SFR et Break Poverty Foundation pendant la première vague du confinement, a permis de connecter plus de 16’000 élèves vivant sous le seuil de pauvreté, et elle est pérennisée par l’opération Réussite Connectée. La Banque Postale mobilise son réseau pour favoriser l’inclusion numérique avec WeTechCare.

 

Alors ne laissons pas notre société, déjà trop morcelée, se faire submerger par le tsunami internet. Organisons-nous pour rendre le monde digital plus inclusif ! Peut-on accepter qu’une personne sur 4 soit laissée pour compte parce qu’il ou elle ne maîtrise pas les nouveaux usages d’internet ou ne dispose pas du matériel adéquat ? MEGA Social Foundation veut faire de l’illectronisme un sujet de premier plan en Suisse. Joignez-vous à nous pour faire connaître cette problématique qui touche tout le monde, qui crée une nouvelle catégorie d’inégalités sociales et qui empêche des gens de faire valoir leurs droits fondamentaux. Pour mener à bien notre mission, nous avons besoin de :

  • trouver du matériel informatique en état de marche ;
  • re-conditionner ce matériel pour le rendre propre à l’usage personnel ;
  • obtenir des licences gratuites pour équiper ces ordinateurs de logiciels de bureautique;
  • obtenir des abonnements internet à prix réduits pour les plus fragiles ;
  • former et embaucher des personnes pour installer et mettre en service les ordinateurs au domicile des personnes en ayant besoin ;
  • fédérer les structures qui travaillent déjà sur l’illectronisme, la fracture numérique et le manque d’accès aux outils informatiques ;
  • créer des lieux où des ordinateurs sont mis à disposition du public et où des formations simples mais régulières sont données sur les usages ;
  • créer des formations sur des usages concrets et pratiques (acheter des titres de transport, faire une recherche internet, envoyer un email, remplir un formulaire en ligne, etc.) ;
  • embaucher des formateurs pour des cours d’informatique ;
  • promouvoir l’utilisation du français FALC auprès des grandes entreprises et des institutions publiques ;
  • trouver des mécènes (fondations, pouvoirs publics, particuliers, entreprises) pour financer l’organisation de ce plan illectronisme d’envergure.

Aidez-nous à relever ce défi du XXIᵉ siècle, ne laissons pas internet devenir une barrière d’exclusion, faisons de l’informatique une ouverture !

Si vous souhaitez participer à cette grande aventure, soumettez-nous vos idées, partagez notre message sur les réseaux sociaux, faites un don pour soutenir notre action !

Crédit photo : Mikhail Reshetnikov (StockLib)

Utilité publique et reconnaissance

Utilité publique et reconnaissance

Une superbe reconnaissance: celle de l’utilité publique!

Bonjour à toutes et à tous,

Ce 1er octobre est un grand jour. Nous avons l’immense plaisir et l’intense fierté de partager une MEGA nouvelle avec vous : l’Administration cantonale des impôts a reconnu que MEGA Social Foundation poursuit une activité d’utilité publique!!

La reconnaissance d’utilité publique est une étape importante de notre développement.

Tout d’abord nous sommes vraiment fiers de l’obtenir après seulement 8 mois d’existence, et pour une durée de 2 ans. Il a fallu convaincre les autorités fiscales, mais avant elles l’Autorité de surveillance et surtout les fondations, les associations et les structures de l’État avec qui nous échangeons quotidiennement.

Ensuite, cela montre la pertinence de notre action contre les inégalités sociales et de notre modèle basé sur la coopération entre structures. Nous travaillons déjà sur 4 programmes (vous les connaîtrez bientôt tous, un peu de patience!), nous mettons à disposition nos compétences professionnelles, nous faisons des dons financiers, nous créons des mises en relation, nous sommes force de proposition… et ce n’est que le début!

Enfin, nos donateurs suisses pourront bénéficier d’une réduction d’impôts… et donc augmenter d’autant leurs dons!!! Nous travaillons activement pour que les donateurs européens puissent également faire reconnaître leurs dons, nous vous tiendrons informés.

D’autre part, le 1er octobre est la Journée Européenne des Fondations et Donateurs, organisée par la DAFNE (Donors and Foundations Network in Europe). L’objectif est de démontrer le rôle que jouent les fondations dans nos sociétés et qu’elles bénéficient à tous.

De nombreuses manifestations et colloques sont organisés et devraient vous intéresser. En voici deux, qui se déroulent en ligne :

  • Le Centre français des Fonds et Fondations organise 3 débats sur les thèmes de la santé, l’éducation et le climat, avec comme invité d’honneur Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports – 16h-18h30;
  • SwissFoundations s’interroge sur l’avenir des fondations et leur rôle dans la crise actuelle, lors de leur évènement « Foundation for future » – 11h45-15h30.

N’hésitez pas à vous joindre à nous, à partager nos nouvelles, newsletters, posts sur LinkedIn et Instagram. Nous avons également besoin de fonds pour que MEGA Social Foundation puisse mener à bien ses missions d’accompagnement opérationnel de structures sociales, de lutte contre l’illectronisme, d’aide à l’enfance. Tout don est bienvenu, tout comme les initiatives de levées de fonds ou de communication.

Partagez votre ressenti, inspirez-nous, laissez-nous un commentaire !

Consommateur déconfiné et averti

Consommateur déconfiné et averti

Quelles responsabilités et quels pouvoirs les consommateurs ont-ils ?

Le confinement nous a incités à consommer moins, différemment et plus localement. Il nous pousse à réfléchir aux chaînes de valeur créées ou détruites par ce que nous consommons. Nous devons nous interroger sur les comportements inhérents à nos sociétés de consommation.

Les choix pléthoriques offerts par nos supermarchés sont-ils vraiment indispensables ? Doit-on laisser Amazon gouverner nos vies et nos envies ? Consommer des produits locaux et de saison ne permet-il pas de préserver et créer des emplois, de nous assurer une nourriture saine tout en valorisant le travail des agriculteurs ? Nos achats habituels sont-ils vraiment nécessaires ? Pourquoi devrions-nous assouvir nos désirs instantanément, est-ce réellement crucial ? Avoir une consommation plus sobre et raisonnée, est-ce vraiment un objectif insensé et inatteignable ?

Consommation et responsabilités

 

Nous pouvons tous contribuer à repenser le monde de demain, pour qu’il soit plus équitable, plus durable et plus agréable. Il n’est plus acceptable de se cacher derrière l’inaction ou l’inefficacité supposée des grands organes nationaux ou internationaux pour justifier son propre immobilisme. Nous sommes tous responsables d’agir pour créer le « monde d’après », qui se bâtit aujourd’hui, et les plus privilégiés ont un rôle majeur à jouer.

Leur première responsabilité est de réaliser qu’ils détiennent un pouvoir : le pouvoir de choisir son employeur, de remettre en question son impact et son utilité sociale, de mobiliser son entreprise pour l’intérêt général, de refuser le manque de considération et de respect, de dénoncer l’aberration du diktat français des horaires à rallonge, d’exiger que son employeur reconnaisse l’importance et l’apport de notre vie personnelle, de demander le maintien du télétravail pour une vie plus équilibrée et pour choisir son lieu de résidence au lieu de le subir, de contribuer à une véritable décentralisation. User collectivement de ce pouvoir permettra d’améliorer qualitativement sa propre vie puis de modifier les habitudes et comportements d’une entreprise, des salariés, voire d’une société. La multiplication des initiatives solidaires, poussées par l’État, des associations, des entreprises ou leurs salariés, pendant le confinement a montré le besoin de chacun de s’investir et la force de la coopération et de la solidarité. 

La seconde responsabilité est d’acheter des produits dont le cycle de fabrication et de consommation sont en accord avec nos valeurs. De nombreux critères peuvent être mis en avant dans la manière dont on sélectionne ses produits : une meilleure qualité, un label renommé, des conditions de travail décentes, l’absence de composants polluants ou de perturbateurs endocriniens, une fabrication locale ou européenne, artisanale, avec des matériaux recyclés ou recyclables, en éco-conception, réparables, favorisant l’économie circulaire ou encore qui ont contribué à employer des individus en difficulté (troubles psychiques, réinsertion, handicap, etc.). Ce que nous consommons et utilisons quotidiennement façonne le monde de demain.

Il faut en permanence s’interroger sur ce que l’on achète. On nous a appris à décrypter l’analyse calorique d’un produit alimentaire, il est grand temps de s’intéresser à la description des ingrédients ou des matériaux, leur origine géographique, leur nocivité, etc. Certes cela demande un effort au départ, il faut se renseigner, mais l’investissement semble rentable puisqu’il doit nous mener vers un monde vivable pour tous à long terme…

Le pouvoir de la carte de crédit

 

Dans nos sociétés dites « développées » où tout peut se consommer avec un prix minimum et une rentabilité maximale, le pouvoir principal réside dans la carte de crédit. Grâce à elle, nous pouvons choisir où l’on fait nos achats, décider de contribuer à la relocalisation industrielle de notre pays, boycotter les produits ayant parcouru des milliers de kilomètres, privilégier des mobilités peu polluantes, réduire nos déchets, consommer moins mais mieux, refuser les emballages inutiles, modifier nos comportements alimentaires pour le bien-commun… Dépenser en conscience devient un acte responsable, militant et politique.

L’usage que nous faisons de nos cartes de crédit oriente les choix stratégiques des entreprises plus fortement qu’une interview, une pétition ou un « bad buzz ». Les plus privilégiés d’entre nous ont donc la capacité de faire évoluer la société grâce à leur important pouvoir d’achat. S’ils orientent ne serait-ce que la majorité de leurs dépenses vers des achats responsables, solidaires, durables, locaux et décents, alors les entreprises seront contraintes d’intégrer ce nouveau cahier des charges pour survivre. De nouvelles structures et de nouveaux métiers se créeront, la qualité responsable deviendra la norme et les prix finiront par devenir accessibles. Cela bénéficiera donc aussi aux plus démunis, aux invisibles, aux oubliés… c’est cela le ruissellement !

Enfin, n’oublions pas que nous avons la chance de vivre dans des démocraties, et que le bulletin de vote est vraiment utile, quelle que soit l’élection… Et si aucun programme politique ne vous convient, vous pouvez vous engager dans la vie politique ! 

 

Nous vous proposerons régulièrement dans notre newsletter des idées pour consommer différemment, réduire votre empreinte écologique ou participer à la solidarité générale… Pensez à vous inscrire !

 

Et vous, qu’en pensez-vous ? Vous êtes-vous posé ces questions, quelles réponses y apporterez-vous, quelles problématiques vous touchent particulièrement ? Contribuez à notre action en commentant cet article, en le partageant sur les réseaux sociaux ou en faisant un don à MEGA Social Foundation!

Partenariat avec l’association 82-4000 Solidaires

Partenariat avec l’association 82-4000 Solidaires

MEGA partenariat pour accompagner 82-4000 Solidaires dans leur stratégie d’expansion en Suisse. La pratique de l’alpinisme permet à 82-4000 Solidaires de venir en aide aux précaires, de restaurer leur droit aux loisirs, à la beauté au rêve.

On n’arrête plus les bonnes nouvelles : après le déconfinement quasi-général du 11 mai, aujourd’hui un MEGA partenariat!!

L’équipe de MEGA Social Foundation est en effet heureuse de vous annoncer la signature officielle de son partenariat avec l’association 82-4000 Solidaires pour l’accompagner dans son essor et son essaimage.

 

MEGA Social Foundation conseille bénévolement 82-4000 Solidaires dans la définition de sa charte d’essaimage et la création de sa fédération. MEGA Social Foundation travaille également avec l’association pour créer et installer une nouvelle structure en Suisse, essaimage naturel puisque les membres de l’association ont l’habitude de sillonner les sommets helvètes et d’y organiser de nombreux stages!

82-4000 Solidaires s’est construite en France, à Briançon, comme un élan de solidarité indispensable envers les personnes en situation de précarité économique. Elle s’est développée sur la conviction que les loisirs sont un droit inaliénable, que la montagne doit demeurer accessible à tous et que, pour reprendre sa vie en main, il faut d’abord s’autoriser à rêver. Depuis maintenant 7 ans, les bénévoles passionné.e.s de montagne organisent des stages sous forme de « cordées solidaires » d’environ une semaine avec des personnes en situation de grande pauvreté.

 

Petit rappel d’alpinisme : pour que la cordée fonctionne, le premier doit caler son rythme sur celui du dernier, sinon personne ne peut avancer, voire le premier chute…

 

Au cours d’un stage, les bénéficiaires se retrouvent pendant toute une semaine dans un univers empreint de valeurs fortes : solidarité, confiance en soi et en autrui, rêve, convivialité, vie en communauté. Les bénéficiaires vont tous gravir un sommet, leur sommet, leur « 4.000m », leur exploit. Cette expérience humaine empreinte du dépassement de soi vise à accompagner les stagiaires pour qu’ils arrivent ensuite à rebondir, à recouvrer leur dignité, et ainsi à sortir de la précarité et refuser le déterminisme.

Merci aux équipes de 82-4000 Solidaires pour la confiance accordée à MEGA Social Foundation, nous avons hâte d’accompagner une cordée en Suisse!

 

 

Pour concrétiser cet essaimage en Suisse, nous recherchons : des bénévoles pour participer aux stages; des personnes, établissements, entreprises pouvant prêter (ou louer à prix réduit) des hébergements en montagne; des personnes motivées par le projet et qui ont envie de s’impliquer; du matériel d’alpinisme et de montagne.

 

Contribuez à cette formidable aventure: contactez-nous, faites un MEGA don ou partagez cet article sur les réseaux sociaux!